L’Europe représente une véritable opportunité pour les entreprises souhaitant y étendre leur présence et développer leur business. Cette démarche est une étape cruciale pour la plupart des entreprises, et ce, qu’elles soient basées outre-Atlantique et envisagent d’intégrer le marché européen pour la toute première fois ou qu’elles soient déjà établies dans un pays européen et souhaitent étendre leurs activités à un autre marché.

Pour ce faire, avoir une stratégie de communication bien ficelée et adaptée à chacun des pays ciblés, est la clé pour intégrer un ou plusieurs marchés européens, en toute sérénité.

Représentant nos marchés respectifs en France, Allemagne et Grande-Bretagne, mes collègues Charlotte, Marco et moi-même, en collaboration avec notre partenaire américain Inkhouse, représenté par Jill Creelman, nous vous partageons nos conseils pour mieux réussir votre expansion en Europe.

Dans cette vidéo, nous répondons aux questions suivantes :

  • Est-il crucial pour les entreprises d’avoir une présence physique dans tous leurs pays cibles ?
  • Quel plan d’attaque pour les entreprises américaines souhaitant élaborer une stratégie de communication et de relations publics en Europe ?
  • Quelles recommandations pour la mise en place d’une stratégie de relations publics cohérente et globale ? 
  • Quelle est la meilleure façon de mesurer les résultats en Europe ?

Vous souhaitez en apprendre davantage ?

Save the date ! Le 21 octobre, nous organisons un webinaire où nous discuterons en détail les étapes clés dans l’élaboration d’un plan RP et la mise en place d’une stratégie de communication paneuropéenne efficace.

Agilité, flexibilité, polyvalence, etc., sont devenus les maîtres mots des entreprises. En effet, entre l’épidémie de la Covid-19 et une économie bouleversée, la normalisation du télétravail et un nouveau protocole sanitaire, impossible de fonctionner et de communiquer « comme avant ». Mais alors, comment les entreprises peuvent-elles faire face à cette rentrée inédite ?  Voici trois conseils pour optimiser la fin d’année, et au-delà !

  • Développer un plan marketing sur-mesure

Habituellement, les entreprises établissent un plan marketing annuel.  Mais avec la crise du Covid 19, la plupart sont devenus obsolètes.  Malgré le plan de relance gouvernemental destiné à soutenir l’économie et accompagner les entreprises françaises, se projeter à long terme est quasiment impossible pour leurs dirigeants. Aujourd’hui,  ces derniers doivent donc, plus que jamais, faire preuve de flexibilité et d’agilité. Cela passe notamment par l’élaboration de plans marketing trimestriels et de campagnes plus courtes voire même one-shot. Avec ces délais réduits, les dirigeants doivent également adapter leurs objectifs et KPIS afin de les rendre réalistes dans un tel contexte. Par exemple, une marque retail pourra faire le choix de se concentrer uniquement sur les fêtes de fin d’année et de lancer une collection capsule en série encore plus limitée pour optimiser ses frais.

  • Mettre en place un monitoring en temps réel 

Plus que jamais, il est crucial pour toute entreprise de pouvoir bénéficier d’une vision globale sur la gestion des projets en cours, suivre l’évolution des campagnes et connaître ses résultats en temps réel. Pour ce faire, on peut s’appuyer sur des outils de gestion de projet tels que Basecamp ou Trello, qui permettent de prioriser les actions, définir les délais ou encore attribuer les différentes tâches aux collaborateurs. Sinon, un document « Work In Progress » accessible en ligne est toujours une bonne base ! Cette visibilité est indispensable afin de permettre aux équipes d’être plus réactives et d’adapter rapidement la stratégie lorsque cela est nécessaire Alors que le télétravail est amené à se généraliser pour de plus en plus de salariés, ces outils s’avèrent stratégiques pour maintenir le lien et pour permettre à l’entreprise d’améliorer sa productivité et de rester compétitive.

  • Renforcer la connaissance des collaborateurs

Enfin, cette période peut aussi être l’occasion d’une remise à niveau des connaissances des collaborateurs sur l’entreprise et son écosystème (histoire, valeur, expertises, concurrence, tendances etc.). Livres blancs, études, infographies, etc., tous ces documents peuvent s’avérer utiles. En parallèle de ces ressources propriétaires, les dirigeants peuvent aussi partager des newsletters, des formations ou des conférences en ligne susceptibles d’intéresser les équipes. Cela peut se faire via des mails spontanés ou de façon plus formalisée où chacun est invité à consacrer une demi-journée de formation dans la semaine.

En fonction de la charge de travail des équipes et de l’activité de l’entreprise, ces moments de formation sont précieux pour renforcer l’implication et la motivation en interne ainsi que pour stimuler la créativité. Ces savoirs peuvent s’avérer très utiles, que cela soit pour répondre à des appels d’offres ou encore pour développer et proposer de nouveaux services aux clients et prospects.

Contexte et challenge 

Conversant et CJ Affiliate sont deux marques du groupe Publicis, qui proposent des plateformes et des services permettant aux professionnels du marketing et de la publicité de réaliser des campagnes digitales personnalisées. Déplorant un manque de notoriété en Europe, Conversant et CJ Affiliate ont choisi Firefly Communications en 2017 afin d’orchestrer leur réputation et se démarquer sur les marchés hyperconcurrentiels de l’AdTech et du MarTech.

 

Solution 

Pour atteindre ces objectifs, Firefly a élaboré et déployé une stratégie pan-européenne (France, Royaume-Unin Allemagne) articulée autour de deux principaux axes. D’un côté, la publication d’études et de rapports sur l’achat en ligne et la perception de la publicité digitale par les consommateurs, basés sur les données propriétaires de Conversant et CJ Affiliate. De l’autre, des campagnes de relations publics mixant annonces corporate et news hijacking, visant à positionner l’actualité des entreprises et référencer leurs porte-parole dans les médias.

Firefly travaille en étroite collaboration avec les équipes marketing françaises, allemandes et britanniques, mais aussi américainesde Conversant et CJ Affiliate afin de maximiser l’impact international des campagnes.

« Quelle que soit la campagne, nous veillons à insuffler une dimension internationale tout en restant pertinents à l’échelle locale. Chaque contenu est décliné de manière à répondre aux attentes et aux besoins des médias locaux, par exemple à travers l’intégration de données locales et la mise en avant de porte-parole régionaux. Une approche sur-mesure qui permet d’optimiser l’efficacité et la rentabilité des campagnes. », déclare Christian Sharp, Senior Account Director chez Firefly Communications.

En complément, Firefly identifie les actualités et événements locaux pertinents afin de proposer l’expertise des porte-parole des entreprises sur les thématiques abordées : RGPD, cookies, soldes, etc. L’agence prend en charge l’ensemble des actions (élaboration des messages, rédaction, validation et diffusion des contenus, etc.) selon un calendrier pré établi pour proposer le bon contenu, au bon moment et à la bonne cible.

 

Résultats

Firefly a obtenu plus de 140 articles dès la première année. En France,plus de 50% des retombées ont été générées dans des médias cœur de cible à forte audience : nationaux (Le Figaro, La Croix, etc.), business (Les Echos, le JDN etc.), marcomm’(Stratégies, Emarketing, CBNews, etc.). En Allemagne, les KPI ont été dépassés de plus de 50%.

« Parmi toutes les agences que nous avons consultées, Firefly a su se démarquer grâce à une parfaite compréhension de notre activité et de nos objectifs. De plus, leurs équipes européennes sont véritablement interconnectées et ne forment qu’un seul et même groupe.», déclare Richard Burns, Head of Content and PR chez Conversant et CJ Affiliate. « La majorité du contenu que nous créons ensemble est localisé et réutilisé dans plusieurs régions, ce qui permet d’optimiser nos dépenses marketing. . Firefly est un partenaire stratégique dont l’impact sur la réputation de nos marques a été significatif », conclut-il.

ENGIE Impact – filiale du groupe ENGIE – spécialiste de l’accompagnement des entreprises, des villes et des gouvernements dans leur stratégie de transition énergétique, fait confiance à Firefly Communications et la choisit pour piloter sa stratégie de communication en Europe, notamment au Royaume-Uni, en Allemagne et en Belgique.

ENGIE Impact collabore avec les décideurs de grandes entreprises et d’organisations internationales afin de définir des stratégies sur-mesure et atteindre les objectifs de durabilité qu’elles se sont fixées en matière de gestion de l’énergie, de l’eau, des déchets, etc.

Firefly Communications a accompagné l’entreprise dans le lancement de sa marque, ENGIE Impact avec l’objectif d’accroître sa notoriété sur les marchés anglais, allemand et belge. Firefly travaille ainsi main dans la main avec ENGIE Impact pour référencer son expertise et valoriser l’engagement des entreprises qui œuvrent pour faire du futur zéro-carbone une réalité.

« Les problématiques du développement durable et de la lutte contre le changement climatique n’ont jamais été aussi actuelles. Pas un jour sans que les médias, les réseaux sociaux et les organisations politiques ne publient des articles, analyses et débats rendant compte des actions mises en œuvre pour protéger notre planète », déclare Zahra Bouras, Account Director chez Firefly Communications. « ENGIE Impact joue un rôle crucial pour accélérer la transformation durable des entreprises, c’est pourquoi nous sommes heureux et fiers de contribuer à orchestrer sa réputation et bâtir sa notoriété sur le marché européen. », conclut-elle.

« Suite au lancement d’ENGIE Impact, il était essentiel de gagner en visibilité sur le marché européen et de démontrer notre capacité à accompagner les grandes entreprises et les collectivités, dans l’accélération de leur transition énergétique », déclare Raevyn West, Senior Director Growth Marketing chez ENGIE Impact. « La collaboration avec Firefly porte ses fruits et nous en mesurons déjà l’impact sur notre notoriété en Europe. Nous nous sommes fixés des objectifs ambitieux pour 2020 et nous avons pleinement confiance dans la capacité des équipes Firefly pour nous aider à les atteindre », conclut-elle.

 

La pandémie de Covid-19 qui sévit actuellement touche l’ensemble de la société ainsi que l’économie mondiale. Dans ce contexte, les marques tentent d’adapter leur communication pour répondre aux attentes fortes des consommateurs, pour la plupart confinés chez eux. Ainsi, selon une étude Conversant menée auprès de 4 000 consommateurs européens, 62% d’entre eux estiment que les marques ne devraient pas stopper leur communication durant la pandémie. Cependant, 49% des personnes interrogées jugent que le message véhiculé par certaines campagnes publicitaires est inopportun ou qu’il ne correspond pas à leurs intérêts.

Comment les marques peuvent-elles alors trouver un juste milieu pour communiquer de façon pertinente à l’ère du coronavirus ? Firefly Communications dresse un tour d’horizon des campagnes de communication et des initiatives marquantes de ces dernières semaines : entre effets d’annonce et actions concrètes, les marques agissent de différentes manières pour des résultats plus ou moins probants en termes d’image.

 

  1. Rebranding et campagnes éphémères : une communication a minima ?

 

Avec la mise en place des mesures barrières et du confinement pour limiter la propagation du Covid-19, les marques adaptent leur communication pour refléter l’importance du respect de ces mesures.

Ainsi, on remarque que bon nombre d’entres elles font le choix du rebranding et adaptent leur logo en conséquence. Par exemple, certaines marques s’approprient avec succès le concept de distanciation sociale : c’est le cas notamment de McDonald’s et de Coca-Cola. Les deux entreprises ont ainsi adapté leur logo en espaçant le lettrage afin de symboliser la nécessité de se tenir à bonne distance les uns des autres pour éviter d’être contaminé.

D’autres choisissent de mettre en avant l’importance de rester confiné chez soi pour limiter autant que faire se peut la propagation du virus. Ainsi, le magazine américain de pop culture Rolling Stone fait le choix judicieux d’utiliser des pochettes d’albums pour faire passer ces messages.

Si l’on peut saluer l’opportunisme et la créativité de ces marques, il est important de relativiser la portée de ces refontes graphiques ou de ces campagnes de communication éphémères. En effet, leurs actions s’apparentent davantage à de la sensibilisation des consommateurs qu’à de réelles prises d’initiatives pour répondre aux besoins urgents soulevés par cette crise. D’autant plus que les messages véhiculés à maintes reprises par les pouvoirs publics ont déjà été entendus par les citoyens. Ainsi, il apparaît que ces marques jouent sur une frontière ténue entre communication prétendument responsable et action purement commerciale.

 

  1. Sincérité et solidarité : ces marques qui se mobilisent pleinement contre le coronavirus 

 

A l’opposé, d’autres marques font preuve d’une mobilisation sans précédent pour aider directement les personnes les plus vulnérables et les acteurs en première ligne dans la lutte contre le coronavirus.

Ainsi, l’exemple le plus marquant en France est celui de Décathlon et de ses masques de snorkeling EasyBreath, dont l’adaptation pour les respirateurs artificiels par le personnel hospitalier en Italie puis dans d’autres pays européens a fait grand bruit ces dernières semaines. Etonnamment, la marque de retail d’équipement sportifs a fait le choix de ne pas communiquer, préférant l’action à la prise de parole sur le sujet. Elle a ainsi suspendu la vente de ces masques, les a offerts aux hôpitaux à titre gracieux et mis à disposition le modèle 3D de son masque pour que l’initiative puisse être reproduite à grande échelle.

D’autre part, les marques de luxe telles que LVMH et Chanel ont reconfiguré leur production pour fabriquer du gel hydroalcoolique et des masques en quantité industrielle et le distribuer aux hôpitaux qui font face à la pénurie d’équipements essentiels.

Enfin, les enseignes de grande distribution telles que Monoprix, Carrefour ou Auchan font preuve de solidarité avec les personnels soignants en leur accordant la priorité aux caisses de leurs magasins. Elles se mobilisent également pour aider les personnes âgées à respecter les mesures de confinement en proposant un service de livraison à domicile gratuit, afin que ces dernières puissent se protéger.

Dans les deux cas, ces entreprises font le choix d’une communication a minima. Par l’entremise de communiqués de presse qui font état de leurs actions, elles ne versent toutefois pas dans une « overdose » marketing qui pourrait les desservir, à l’image des marques qui ont simplement rebrandé leur logo.

En effet, si la communication reste une évidence à l’heure du coronavirus, il n’empêche que certaines marques manquent de sincérité et peuvent apparaître en décalage avec les besoins urgents pour lutter contre cette crise. En témoigne le nombre important de mails adressés aux consommateurs qui peuvent sonner creux. Si l’intention de s’enquérir de la santé de tout un chacun est louable, le message véhiculé par ces marques souligne la continuité de leur activité ou l’extension des périodes de retour d’articles que l’on souhaite échanger ou se faire rembourser. Cette façon d’agir interroge sur la volonté de perpétrer des pratiques commerciales et de pousser à la consommation, malgré des temps difficiles pour les consommateurs qui se recentrent sur l’achat de produits de première nécessité.

 

Ce tour d’horizon permet de constater que les initiatives concrètes portées par les marques sont nombreuses et répondent directement aux problèmes soulevés par la lutte contre le coronavirus. A cet effet, près de deux-tiers des consommateurs européens attendent justement des marques qu’elles communiquent autour de leur utilité sociale durant cette crise. Ainsi, ce seront peut-être ces dernières qui tireront leur épingle du jeu : en faisant preuve de sincérité et de solidarité, elles démontrent leur capacité à créer de la valeur et à se conformer aux principes de responsabilité sociale.

Firefly Communications annonce aujourd’hui la nomination de Marco Dautel en tant que Directeur Associé de son agence allemande basée à Munich. Chapeautant une équipe de consultants en communication et relations publics, Marco Dautel se voit confier le développement de l’ensemble des activités de l’agence outre-Rhin, notamment le développement des services et de l’activité de conseil stratégique, ainsi que du portefeuille de clients.

Fort d’une expérience de 15 ans dans les relations publics, Marco Dautel apporte à Firefly Communications une expertise et un savoir-faire éprouvés dans des domaines variés : nouvelles technologies, sécurité, jeux-vidéo, sécurité, mobile, électronique grand public, tourisme…

« Avec à un large portefeuille de clients et une équipe d’experts métier aux résultats exceptionnels, Firefly Communications bénéficie d’ores et déjà d’un solide ancrage en Allemagne », déclare Claire Walker, PDG du groupe Firefly Communications. « Grâce à son expérience et son expertise des enjeux européens des secteurs technologiques et numériques, Marco Dautel est un atout majeur pour développer notre présence sur le marché et continuer à orchestrer la réputation de nos clients actuels et futurs », conclut-elle.  

Auparavant, Marco Dautel a travaillé en tant que responsable du pôle « Consumer technology » au sein de l’agence Edelman Munich, puis en tant que Directeur de clientèle de l’agence Bite, où il a travaillé pour un large éventail de clients d’envergure internationale : Microsoft XBox, HTC, Norton de Symantec, Razer… Par la suite, il a rejoint le groupe Jochen Schweizer, spécialiste allemand des voyages et loisirs, afin de diriger les relations publics de l’entreprise et de son fondateur.

Avec l’avènement des médias digitaux, les marques font face à une compétition acharnée pour gagner en visibilité sur le web, si bien que l’optimisation du référencement sur les moteurs de recherche est devenu un enjeu crucial. Si le SEO (Search Engine Optimisation) reste de loin la technique la plus économique pour booster le référencement d’un site, il s’avère encore plus efficace lorsqu’il est implémenté au cœur d’une stratégie de relations presse pertinente et impactante. En effet, les médias et les influenceurs sont une formidable caisse de résonnance permettant de maximiser la notoriété des marques sur le web, tout en générant de nouveaux leads qualifiés pour un coût moindre.
Mais comment les marques peuvent-elles optimiser l’efficacité de leurs campagnes croisées RP / référencement naturel ?

 

Privilégier la qualité à la quantité    

La présence sur des sites web de qualité et à forte audience permet indéniablement à une marque de booster sa notoriété et l’autorité de son domaine (Domain Authority – Moz).
En effet, des articles de qualité sur des sites web d’autorité ont bien plus de poids que des liens sponsorisés dans le classement réalisé par l’algorithme de Google. Tout comme par ailleurs des mentions sur les blogs, vidéos Youtube et autres publications sur les réseaux sociaux, auxquels le grand public accorde davantage de confiance et de crédit.

A ce titre, les marques doivent privilégier des agences en mesure d’identifier les médias et les influenceurs prescripteurs d’un secteur, tout en entretenant des relations privilégiées avec ces derniers.
Outre un excellent réseau, le PR strategist doit être capable de cibler la bonne personne et de lui adresser le bon contenu au bon moment. Par exemple, en proposant une information en avant-première à un média clé à forte audience afin de maximiser son potentiel de reprise.
A noter qu’une publication dans un média de premier plan entraîne généralement la reprise du contenu dans des médias tiers, permettant de générer de nouveaux liens vers le site de marque par effet de cascade.

 

Délivrer des contenus à forte valeur ajoutée

Les moteurs de recherche accordent non seulement de l’importance à la réputation d’un site, mais également à la qualité et la pertinence de ses contenus. Ce critère déterminant contribue en effet à renforcer la confiance du public envers les marques. C’est pourquoi il reste le principal pilier d’une stratégie SEO efficace.
Les marques ont donc tout intérêt à privilégier des partenaires capables de délivrer des contenus optimisés en phase avec les exigences des médias et de leurs publics.
En complément du relais des actualités, les relations presse doivent être axées sur une démarche proactive et proposer des contenus riches et exclusifs permettant de maximiser le référencement de la marque. Cette caution de qualité est la condition sinéquanone pour faire d’une marque et de ses porte-parole des experts incontournables auprès des médias.
Des contenus à fortes valeur ajoutée intégrant des mots clés et des backlinks ne suffisent pas, à eux seuls, à se détacher du lot dans les moteurs de recherche. Encore faut-il que ces mots clés s’inscrivent dans les tendances de recherche des différents publics de la marque. Pour ce faire, il est nécessaire de réaliser un audit précis et détaillé de son écosystème digital afin d’optimiser le choix des éléments de langage pour chaque type de communication et ainsi favoriser leur reprise par les journalistes et les influenceurs.

 

Optimiser la portée des contenus

Si les relations presse vont de pair avec une stratégie SEO efficace, des initiatives simples permettent de maximiser la viralité d’une campagne et son impact sur le référencement naturel. Ainsi, les marques qui partagent régulièrement sur leurs plateformes (site web, blog, newsletter, réseaux sociaux) les articles notables dont elles sont l’objet, valorisent cette visibilité auprès de leurs communautés tout en générant davantage de trafic grâce la reprise des liens. Dans le message d’accompagnement, l’utilisation du hashtag et l’identification du média, du journaliste ou de l’influenceur à l’origine de la parution, peut contribuer à renforcer la viralité du contenu et favoriser la discussion.

Enfin, il est nécessaire de noter que tout contenu peut-être optimisé. Les journalistes comment le grand public s’appuient constamment sur les moteurs de recherche pour trouver facilement toutes sortes d’informations, qui ne se limitent pas qu’au texte. En témoigne l’avènement de la vidéo et du podcast. C’est la raison pour laquelle il est indispensable d’apporter un soin particulier au référencement de ces supports, notamment à travers un wording pertinent.

Vous avez sûrement entendu parler du réseau social Vero présenté comme le concurrent de Facebook et Instagram. Lancé en 2015, Vero a connu en février dernier un regain soudain de popularité après avoir annoncé que l’accès à son application serait gratuit à vie pour le premier million d’inscrits. L’offre a rapidement affolé la toile et les médias : les utilisateurs se sont rués sur l’application (le 27 février Véro était l’application la plus téléchargée sur l’AppStore) qui a rapidement été saturée et a connu de nombreux bugs.

Pourquoi un tel engouement ? Au delà de l’argument de la gratuité, que peuvent attendre les utilisateurs d’un énième réseau social ? Sur le papier, Vero se veut différent : son ambition est de fournir aux déçus des réseaux sociaux traditionnels une alternative plus sélective et transparente, centrée sur les relations humaines. Contrairement à Facebook et Instagram, le flux d’actualité de Vero est basé sur la chronologie et non pas sur des algorithmes, atténuant la sensation d’être « traqué » en permanence. De plus, Véro est un modèle payant, ce qui signifie qu’il ne dépend pas des revenus publicitaires et donc de la monétisation des données de ses utilisateurs.

Si ces arguments ont réussi à séduire une partie du grand public, quels peuvent être les bénéfices de Vero pour les entreprises ? Voici mes premières impressions pour vous aider à vous faire votre avis.

 

Une expérience utilisateur optimisée  

Quelle frustration de passer à côté des actualités d’un contact dont vous aimeriez voir le contenu, simplement parce qu’il publie rarement et qu’il est de ce fait exclu par les algorithmes. Et que dire des posts datés d’une semaine qui apparaissent en tête du fil d’actualité ? Pour ces raisons, le fil chronologique de Véro constitue un réel avantage. Et à la différence des réseaux sociaux traditionnels, il n’y aucune publicité rendant la navigation plus fluide et agréable.

Vero permet à ses utilisateurs de partager des photos, des liens et des recommandations de musiques, de films, de livres, de sorties ou encore de programmes TV. Ce système constitue un levier intéressant pour les entreprises souhaitant développer leur réseau au delà de leurs sphères traditionnelles.

 

Une interface pratique… et perfectible

Il s’agit à mon avis du principal point noir de Vero. Au premier abord, l’interface s’avère peu intuitive et la prise en main compliquée. Quant au design volontairement minimaliste, il frôle parfois l’austérité.
Toutefois, la gestion des contacts s’avère très pratique. Vous pouvez tout d’abord choisir de « suivre » ou bien de « vous connecter » avec un utilisateurs. Ensuite, vous pouvez choisir d’organiser vos contacts selon 3 catégories : ami proche, ami ou connaissance (l’application choisit le paramètre connaissance par défaut pour chaque nouveau contact). Qu’on se rassure, ce classement est visible par vous seul. Chaque fois que vous publiez un contenu, vous pouvez ainsi choisir quel groupe peu le voir.

Autre fonctionnalité pratique, la catégorie « collection » qui regroupe des contenus en fonction des préférences choisies (photo, recommandation cinéma..) afin d’éviter de se noyer dans le fil d’actualité. Un cas de figure qu’on imagine mal cependant. En effet, malgré l’enthousiasme suscité par Vero, difficile pour le moment de retrouver des contacts ou de trouver les profils d’utilisateurs que je souhaite suivre.

 

Verdict

Bien que Vero ait de nombreux aspects positifs, son utilité me semble assez limitée pour les particuliers comme pour les entreprises. J’ai du mal à imaginer que les utilisateurs délaissent les autres réseaux sociaux et trouvent un réel intérêt à payer pour des contenus qu’ils peuvent voir gratuitement sur Facebook ou Twitter. J’entends l’argument de Vero qui consiste à dire que l’application permet de réunir une variété de contenus (photos, vidéo, recommandations,…) sur une même interface, mais personnellement, le fait d’utiliser plusieurs applications ne me dérange pas.

J’y vois en revanche une opportunité pour certaines start-up et influenceurs de diversifier leurs canaux de communication et de trouver de nouvelles débouchées commerciales, à condition de proposer des contenus premiums et exclusifs. Moins sûr en revanche que les utilisateurs séduits par l’absence de publicité apprécient de voir le réseau cannibalisé par des marques.

La principale limite reste selon moi le décalage entre le positionnement de Vero sur la transparence et la protection des données utilisateurs avec la réalité des faits. En plus d’exiger des informations personnelles lors de l’inscription, Vero conserve tous les messages échangés via l’application et collecte votre adresse IP ainsi que des informations sur votre mobile et les pages consultées. Enfin, si l’envie vous prend d’essayer Vero, sachez que vous ne pourrez pas repartir aussi facilement que vous êtes venu. En effet il vous faudra demander à l’application de supprimer votre compte

La confiance est un élément clé dans l’esprit du consommateur avant de passer à l’acte d’achat. C’est parce que celui-ci sait qu’il peut se fier à une marque et à ses produits et ses services qu’il va la privilégier face aux offres concurrentes. Ainsi, pour être connectées aux consommateurs, les marques doivent maintenant être “transparentes” et engagées sur des sujets qui sont leur sont chers.

Problème, en France, la force de la relation entre les consommateurs et les marques s’élève à seulement 31% (-1% par rapport à l’année dernière). Il est dont urgent d’agir, d’autant plus qu’avec la prochaine entrée en vigueur de la RGPD, protection des données personnelles et de la vie privée vont être au cœur de la relation entre marques et consommateurs. Pour rétablir le niveau de confiance envers les marques, équipes marketing comme RH ont leur rôle à jouer, notamment à l’aube d’une nouvelle législation  annonciatrice de challenges supplémentaires.

 

Une méfiance qui s’accumule : Au rythme où l’on va, nous ne sommes pas loin d’une rupture majeure au regard de la relation marques et consommateurs. Ceci est particulièrement vrai dans le secteur IT, qui a vu passer son lot de scandales ces derniers mois. Ainsi, rien que l’an passé, Uber a été piraté et l’information aussitôt étouffée, Youtube a fait preuve de laxisme en laissant des remarques d’ordre sexuelles à côté de contenus mettant en scène des enfants, quand à Google, l’entreprise a été poursuivie en justice pour discrimination sexuelle. Bénéficiant d’une position dominante, ces rois de la Silicon Valley ont les moyens de traverser les polémiques et de s’en sortir plus ou moins indemnes. Mais ce n’est pas le cas de toutes les marques, qui ne peuvent se permettre ce genre de publicité, notamment à l’ère d’une prégnance du web qui a la mémoire longue.

Une transparence contrôlée : La culture d’entreprise, peu à peu, devient partie intégrante de l’identité des marques. Depuis maintenant de nombreuses années, des sites comme Glassdoor ou bien les réseaux sociaux ont permis aux personnes extérieures à l’entreprise d’apercevoir la matérialité de la marque employeur. Mais ceci est à double tranchant. Ainsi, l’an dernier, les publics ne se sont pas gênés pour dénoncer les mauvaises pratiques d’un Amazon, avec pour résultat des boycotts en nombre de la part des consommateurs. Pour que la transparence soit synonyme de valeur ajoutée, les marques doivent porter une attention toute particulière aux messages véhiculés au-delà des portes de l’entreprise. Si équipes marketing et RH fonctionnaient jusque là en silos, il est désormais temps de faire bouger les lignes.

Une alliance stratégique entre départements marketing et RH : Clients comme employés sont tous susceptibles de se battre pour défendre les croyances et valeurs qui leurs sont chers. On compte que 48% des consommateurs se disent prêts à défendre une entreprise lorsque celle-ci soutient les mêmes causes et valeurs qu’eux. De ce fait, chargés du marketing comme responsables RH ont tout intérêt à travailler conjointement et stratégiquement, afin d’engager  ces personnes en interaction avec la marque. Ces publics, véritables portes paroles, sont une source de richesse, comme une potentielle menace en cas de désaccords. Au quotidien, les équipes marketing et RH doivent donc veiller à la bonne santé du dialogue en interne (via la communication entre employés, envers les clients et prospects) et être en mesure de réagir rapidement si des signes de mécontentement commencent à poindre le bout de leur nez.

 

Évoluant dans un cadre éminemment compétitif, les équipes RH et chef d’entreprises ont jusque là été occupés à bâtir leur marque employeur. Mais désormais, un long travail reste à fournir pour que la confiance règne envers l’ensemble des publics. Ceci est le chantier de 2018 et pas l’un des moindres, notamment à l’aube de la RGPD où tout à chacun est dans le droit de demander des comptes.

Beaucoup de communicants se sont posés cette même question. Car, si vous avez collecté toutes les informations nécessaires en amont, planifié votre campagne et êtes parvenu à avoir des parutions, qu’en est-il désormais ? C’est normal de célébrer une publication dans un titre influent, mais il est aussi important de ne pas se reposer sur ses lauriers et de penser à la suite.

Beaucoup d’entreprises n’utilisent pas le contenu et les publications qu’elles produisent pour obtenir de nouveaux résultats. Et quel dommage ! Essayer de faire fructifier un peu plus les parutions presse sur le long terme devrait faire partie intégrante de chaque campagne. Pour ce faire, vous pouvez déployer les tactiques suivant le modèle PESO.

Le PESO – “paid”, “earned”, “shared” et “owned” médias – est un très bon modèle à suivre, et qui peut aussi vous aider à comprendre comment amplifier n’importe quel résultat RP. Suivre ce modèle peut vous aider à réorienter votre cible actuelle et à atteindre une toute nouvelle.

Mais en parallèle de ce modèle, n’oubliez pas de mettre des liens de tracking à vos articles ou contenus. Vous pouvez les créer créer en utilisant les Campagnes personnalisées de Google, et ainsi être en mesure de voir l’impact qu’ont vos publications au regard de votre trafic et suivre ces résultats dans Google Analytics. Et si les liens créés à partir de Google Analytics sont, à votre goût, un peu trop longs, bit.ly peut les raccourcir. Ces liens de tracking sont essentiels pour voir quelles campagnes rencontrent le plus de succès, quels canaux ont apporté le plus de trafic et dans quelle mesure ce trafic se transforme concrètement en résultats.

Est-il temps de façonner votre réputation?

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